Week-end à Charleville-Mézières
C'était donc le festival mondial des théâtres de marionnettes !
Bienvenue au festival semble nous dire ce bonhomme de bois !
Une ambiance extraordinaire dans les rues, des artistes partout, le in et le off sans distinction, un public conquis, des terrasses bondées, un soleil d'été au rendez-vous, toute une ville à l'unisson.
Et bien sûr, en vedettes adulées, les marionnettes ! Des grandes, des petites, à gaine, à fils, à tige, à tringles, portées, des automates, des ombres chinoises, des comédiens au milieu de leurs étranges créatures. Plein les yeux !
Pour tous les âges, pour tous les goûts
Impossible de tout voir ...
Nous nous sommes contentés de cinq spectacles : italien pour commencer, en compagnie de l'incontournable Polichinelle.
Puis un drôle de couple Belge qui nous contait leur vie de couple dans d'hilarantes saynettes.
Un moment fort avec une troupe thaïlandaise et ses marionnettes thaï.
Suivi d'un étrange duo entre un comédien, Français et misanthrope, et son complice Polichinelle d'un cynisme total.
Enfin, un final époustouflant dû au plasticien Joan Baixos, Espagnol, dans une mise en scène qui a tenu le spectateur en haleine jusqu'au bout.
Nous n'avons pas rencontré Trublion ...
La fête est finie ...
Vivement la prochaine édition, dans trois ans !
Bienvenue au festival semble nous dire ce bonhomme de bois !
Une ambiance extraordinaire dans les rues, des artistes partout, le in et le off sans distinction, un public conquis, des terrasses bondées, un soleil d'été au rendez-vous, toute une ville à l'unisson.
Et bien sûr, en vedettes adulées, les marionnettes ! Des grandes, des petites, à gaine, à fils, à tige, à tringles, portées, des automates, des ombres chinoises, des comédiens au milieu de leurs étranges créatures. Plein les yeux !
Pour tous les âges, pour tous les goûts
Impossible de tout voir ...
Nous nous sommes contentés de cinq spectacles : italien pour commencer, en compagnie de l'incontournable Polichinelle.
Puis un drôle de couple Belge qui nous contait leur vie de couple dans d'hilarantes saynettes.
Un moment fort avec une troupe thaïlandaise et ses marionnettes thaï.
Suivi d'un étrange duo entre un comédien, Français et misanthrope, et son complice Polichinelle d'un cynisme total.
Enfin, un final époustouflant dû au plasticien Joan Baixos, Espagnol, dans une mise en scène qui a tenu le spectateur en haleine jusqu'au bout.
Nous n'avons pas rencontré Trublion ...
La fête est finie ...
Vivement la prochaine édition, dans trois ans !